L’équipe de la Diversité a organisé en collaboration avec le groupe traduction et procès-verbaux du CERN (DG-TM) un atelier intitulé « Rédiger en français sans exclure : questions de genre » pour nous inviter à réfléchir sur l’utilisation du langage non discriminatoire pour ce qui concerne les genres (masculin, féminin).
Natalie Garde, de la section française de traduction, présentera les solutions pragmatiques que la section a adoptées en la matière, au cours d’un atelier interactif qui aura lieu le lundi 6 octobre 2014 de 13h30 à 15h30 dans la salle 4-3-006 (amphi de la Théorie),
Pour l’inscription, suivre ce lien.
Le langage peut en effet exclure et peut aussi masquer certaines réalités. À la suite d’une prise de conscience de ce fait, de nouveaux usages sont en train d’apparaître, qui visent à rendre les femmes visibles dans le discours. Mais parfois on est un peu perdu. Faut-il dire « une femme ingénieur », « une ingénieure » ? Est-il logique de dire « les étudiants » quand plus de la moitié sont des étudiantes ? Doit-on systématiquement accoler à la forme masculine une forme féminine ?